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1.
Open journal of epidemiology : Duplicate, marked for deletion ; 13(1):97-111, 2023.
Article in English | EuropePMC | ID: covidwho-2251529

ABSTRACT

Tuberculosis disease stands for the second leading cause of death worldwide after COVID-19, most active tuberculosis cases result from the reactivation of latent TB infection through impairment of immune response. Several factors are known to sustain that process. Schistosoma mansoni, a parasite of the helminth genus that possesses switching power from an immune profile type Th1 to Th2 that favors reactivation of latent TB bacteria. The aim of the study was to assess the prevalence of the co-infection between the two endemic infections. Systematic literature was contacted at the University Clinical Research Center at the University of Sciences, Techniques, and Technologies of Bamako in Mali. Original articles were included, and full texts were reviewed to assess the prevalence and better understand the immunological changes that occur during the co-infection. In total, 3530 original articles were retrieved through database search, 53 were included in the qualitative analysis, and data from 10 were included in the meta-analysis. Prevalence of the co-infection ranged from 4% to 34% in the literature. Most of the articles reported that immunity against infection with helminth parasite and more specifically Schistosoma mansoni infection enhances latent TB reactivation through Th1/Th2. In sum, the impact of Schistosoma mansoni co-infection with Mycobacterium tuberculosis is under-investigated. Understanding the role of this endemic tropical parasite as a contributing factor to TB epidemiology and burden could help integrate its elimination as one of the strategies to achieve the END-TB objectives by the year 2035.

2.
IJID Reg ; 2022 Nov 25.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2242278

ABSTRACT

Background: Emergence of Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) variants may contribute to prolonging the pandemic and increasing morbidity, and mortality related to coronavirus disease 2019 (COVID-19). We describe the dynamics of circulating SARS-CoV-2 variants identified during the different COVID-19 waves that occurred in Mali between April 2021 and October 2021. Methods: We sequenced respiratory SARS-CoV-2 complete spike (S) gene from positive samples. Generated sequences were aligned by Variant Reporter v3.0 using Wuhan-1 strain as a reference. Mutations were noted using the GISAID and Nextclade platforms. Results: Of 16,797 nasopharyngeal swab samples tested, 6.0 % (1008/16,797) were RT-qPCR positive for SARS-CoV-2. Of these, 16.07% (162/1008) had a Ct value ≤ 28 and were amplified and sequenced. We recovered complete S-gene sequence from 80 of 162 [49.8%] samples. We identified seven distinct variants including Delta [62.5%], Alpha [1.2%], Beta [1.2%], Eta [30.0%], 20B [2.5%], 19B and 20A [1.2% each]. Conclusion and perspectives: Our results show the presence of several SARS-CoV-2 variants during COVID-19 waves in Mali between April and October 2021. The continued emergence of new variants highlights the need to strengthen local real-time sequencing capacity, and genomic surveillance for better and coordinated national responses to SARS-CoV-2.

3.
Archives Des Maladies Professionnelles et De L'Environnement ; 83(4):369-369, 2022.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2011767

ABSTRACT

Introduction Notre service médical a eu à agir et réagir devant une situation jusque-là inconnue qu’est la gestion des premiers cas confirmés de COVID-19 chez les travailleurs. Objectif Décrire la chronologie des évènements et l’épidémiologie des cas confirmés de COVID-19. Méthodologie Il s’agissait d’une étude descriptive, prospective et transversale réalisée du 12 avril 2021 au 10 mai 2021 au service médical d’une société minière au Mali. L’analyse a concerné la chronologie des évènements à partir du premier cas enregistré et l’épidémiologie des cas confirmés. Résultats Le premier cas, un homme de 32 ans, blanchisseur à la base vie, a consulté notre service médical le 12 avril 2021 pour une toux sèche, de courbatures avec une température à 37,5 °C. Testé positif au test antigénique rapide, le sujet a été prélevé pour RT-PCR, qui est revenu positif le 13 avril 2021. Les évènements se sont succédé selon l’ordre suivant : la réunion urgente de la cellule de crise, la recherche des cas contacts, la désinfection des lieux, la réorganisation des activités du service médical en se concentrant sur le dépistage collectif, le prélèvement pour RT-PCR, la prise en charge des cas confirmés. L’accès du site minier a été conditionné à un résultat négatif à la COVID-19 par un test antigénique rapide ou un RT-PCR datant d’au plus 48 heures. L’âge moyen des 9 cas confirmés était de 34,88 ± 7,30 ans. Le sexe ratio était de 8 hommes sur une femme. Les agents de sécurité (n = 4) et les superviseurs (n = 3) étaient les plus représentés. La majorité des cas (n = 7) étaient symptomatiques. Les symptômes les plus fréquents étaient la toux sèche (n = 4) et la rhinorrhée (n = 4). Tous les 9 cas ont été pris en charge sur le site minier. La durée moyenne de confinement était de 13,66 ± 3,90 jours. Les 9 cas ont été déclarés guéris et ont repris leur travail à l’identique. Conclusion Notre service médical a pu apporter une aide substantielle en conseillant l’employeur, en créant une unité de dépistage et de prélèvement pour RT-PCR et en prenant en charge sur place les travailleurs atteints de COVID-19.

4.
Archives Des Maladies Professionnelles et De L'Environnement ; 83(4):360-360, 2022.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2011766

ABSTRACT

Introduction Le secteur minier comme toute collectivité, constitue un milieu favorable à la propagation de la COVID-19. Objectif Décrire les activités de prévention menées par le service médical du site minier. Méthodologie Une étude rétrospective allant de février 2020 à juillet 2021 a été menée dans le service médical d’une société de mine d’or au Mali. Elle a inclus toutes les activités de prévention contre la COVID-19. Nous avons utilisé le fichier informatisé du service médical pour le recueil et l’analyse des données. Résultats Un comité de crise contre la COVID-19 composé de 9 membres a été mis en place. Un poster de sensibilisation et 5 fiches réflexes ont été affichés dans les services. Les statistiques de la COVID-19 étaient diffusées quotidiennement sur le réseau intranet de la société. Quatre dispositifs de lavage des mains ont été installés aux entrées de la société en plus des 8 autres déjà fonctionnels dans les services. Les gels hydro-alcooliques étaient disponibles. Le personnel médical a été formé sur la COVID-19. Nous avons formé 12 agents de sécurité sur la prise de la température avec le thermo flash, 4 agents d’entretien sur la désinfection, 2 agents de buanderie sur le lavage des masques en tissus, 2 équipes sur l’inspection du respect des mesures barrières sur le site. Les postes de travail et la salle à manger ont été aménagés en respectant une distance d’un mètre. Tous les véhicules se rendant sur le site étaient désinfectés. L’accès du site minier était conditionné à un résultat négatif à la COVID-19 par un test antigénique rapide ou un RT-PCR datant d’au plus 48 heures. Le lavage des mains au savon et le port du masque étaient obligatoires sur le site. Un site d’isolement d’une capacité de 10 lits a été aménagé. La prise de la température était systématique aux entrées. Un protocole de dépistage et de prise en charge d’un éventuel cas était élaboré. Conclusion Ces actions nous ont permis d’assurer la protection des travailleurs contre la COVID-19 avec l’implication de tous. L’accent doit être mis sur leur suivi et leur adaptation selon l’évolution de la pandémie.

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